Passi'bat 2012, la nouvelle vague

affiche_passibat.jpgLe salon et le congrès Passi’bat a fermé ses portes hier. Autant la version 2011 avait marqué par son changement d’échelle, autant celle de 2012 a semblé stable (simple impression, les chiffres arriveront plus tard). Un peu surprenant à une période ou les surfaces construites et projetées en passif explosent.
La nouveauté, c’est la jeunesse des visiteurs et des congressistes : une nouvelle vague d’étudiants et de jeunes professionnels sont venus rencontrer et écouter les pionniers. Comme si le futur du bâtiment (nous parlons d’une génération) avait compris que l’avenir ne résidait pas dans le suivi d’une obscure règlementation thermique française, mais dans la sobriété optimale du bâtiment passif.
Comme l’année dernière, il manquait encore quelques exposants majeurs. Et la météo caractéristique de début décembre ne poussait pas à l’enthousiasme…
Les congressistes ont été gâtés, avec des interventions de haut niveau (pas toutes, mais presque) et des indispensables temps de rencontre plus importants que l’année dernière.

Ajouter un commentaire

Le code HTML est affiché comme du texte et les adresses web sont automatiquement transformées.

La discussion continue ailleurs