Ce mois de juillet a été chaud, bien chaud. Pas de canicule au sens strict, mais on est passé bien près… Comment ça s’est passé dans la maison ? Fort bien, en fait ! La température reste agréable, nous pouvons dormir les fenêtres fermées et se réfugier à l’intérieur dès que la température extérieure devient pénible.
Voici le graphique du mois selon les codes habituels : la température extérieure en rouge, celle à l’intérieur en bleu :
(cliquer pour agrandir)
L’enveloppe protège bien de la vague de chaleur, les protections solaires sont efficaces, la ventilation assure un air toujours bien renouvelé. Et pourtant, il a fallu une petite aide pour garder l’intérieur au frais. Pourquoi ? Car les apports internes sont trop importants : cuisine, y compris cuisson, ordinateurs multiples, bricolage avec des outils électriques et autres appareils divers chauffent la maison.
Quelle aide ? Un rafraichisseur d’air, qui automatise ce que le lavage des sols à l’eau permet d’obtenir. C’est un ventilateur qui souffle de l’air humide. La consommation électrique est faible (50 W), la consommation d’eau très faible (quelques litres par jour), et le refroidissement est modeste. Ce n’est pas une climatisation, et ça ne fonctionne bien que dans une maison bien ventilée (pour évacuer l’humidité) et bien isolée (avec un faible besoin de refroidissement). Comme c’est le cas d’une maison passive, un rafraichisseur suffit pour toute la maison et compense ainsi partiellement les apports internes.
Demain, la chaleur revient. Nous l’attendons sereinement, sans climatisation.