Mercredi et jeudi, la deuxième édition du salon Passi’bat s’est déroulé au Parc Floral de Paris. Pour ceux qui avaient assisté à la première édition, le changement d’échelle était manifeste. Exposants plus nombreux, visiteurs très présents et plutôt qualifiés : les absents on eu tort. Nous pouvons en espérer un peu plus pour l’année prochaine, car il manque quelques acteurs majeurs du secteur (Homatherm, STO, Soprema, pro clima, quelques bureaux d’étude, etc) et il reste un peu de place.
Certains visiteurs en ont plus profité que d’autres avec les ateliers :
Mais pour les professionnels et amateurs du passif, ce sont bien sûr les conférences qui ont suscité l’intérêt. Les explications basiques, c’est terminé : les intervenants proposent des thèmes précis, ciblés, parfois techniques, mais toujours compréhensibles. Si les étrangers ouvrent l’horizon et soulignent parfois les forces et les faiblesses du bâtiment français, la plupart des thèmes sont locaux : le passif en France est maintenant suffisamment développé pour pouvoir contribuer au mouvement mondial :
Nous reparlerons probablement de certains conférences “de pointe”
Il est clair qu’avec ce salon, le passif prend une plus grande place dans l’avenir du bâtiment français et que les participants, exposants et intervenants ont bien conscience de la direction prise et qu’il est inutile d’attendre qu’elle devienne obligatoire pour s’en occuper.