Le mois de juin n’a pas été si beau et il y a eu quelques nuits fraîches. Mais il finit par une petite canicule, un bon test.
Place aux courbes : la courbe rouge représente la température extérieure, la courbe bleue la température intérieure. (pour agrandir, cliquez sur l’image)
Le confort a été bon, il a fallu jouer des protections solaires pour éviter la surchauffe. Après une journée du 5 juin bien chaude et facilement “effacée” par l’isolation et l’inertie, passons tout de suite à la fin du mois et ses températures très estivales.
La maison résiste bien à la chaleur externe, surtout en bas. On voit apparaitre une surchauffe en haut, qui a bien du mal à être modérée la nuit. La courbe montre le début de la chaleur, mais pas la canicule engendrée par des nuits trop chaudes pour refroidir le bâti.
Mercredi 1 juillet, la nuit fut chaude (20 °C), la journée très chaude (37 °C), la température intérieure a atteint 25°C en bas et 27 °C en haut. Ce qui ne pose pas encore de problème pour dormir, même sous le toit. En rentrant dans la maison,une différence de 12°C donne un fort effet “frigo”. Toujours pas de nuit fraîche et une journée de jeudi normale ont quand même fait monter la température à 26 °C à l’intérieur.
L’explication à cette surchauffe est assez simple : température extérieure élevée, aucun moyen de refroidissement (la maison ne fait que résister) et des apports internes importants : 4, 5 ou 6 personnes à l’intérieur avec des appareils en activité, notamment informatiques.
Eh oui, il fait quand même meilleur dedans !
La montée est inéluctable, elle est juste bien moins rapide et pénible que dans les logements “standards”.
La consommation électrique a encore chuté, elle a de nouveau atteint son niveau minimum depuis 3 ans : 7 kWh par jour. Le soleil a chauffé toute l’eau (0 KWh pour le CESI), presque trop. Il y a de la place pour une petite climatisation qui sera malheureusement nécessaire puisque notre société s’emploie à réchauffer l’atmosphère sans faiblir…